Apple vs Suisse

Les groupes Swatch et Richemont ont des accords tacites qui ont débouché sur un groupe à l'autre, notamment pour les forces de vente, est un sport prohibé. En matière de RH, ces deux grands s'entendent donc (à peu près) clairement sur qui fait quoi. Aussi, quand le géant Apple arrive avec ses gros sabots californiens en terres helvétiques pour le marché des cadres dirigeants, la manœuvre ne passe pas inaperçue.
Hayek , Comme sous Jean-Claude Biver ( LVMH ), victime collatérale. Apple a récemment offert des ponts d'or aux éminences grises suisses pour préparer le lancement d'Apple Watch (disponible en 2015).
Jean-Claude Biver avait déjà levé le lièvre en mars. L'homme déclare qu'il a essayé de débaucher le chef des projets Hublot . En vain. Beau joueur, Biver a reconnu la cohérence de la démarche: « Apple est une marque de luxe . Donc, si vous voulez faire une veille, elle ne peut pas faire le swiss fait .

Hélas, depuis, le ton est monté. Prix ​​de la voiture: Patrick Pruniaux , ancien vice-président chargé des ventes et du commerce chez TAG Heuer . Jean-Claude Biver l'annoncé sur CNBC. Fidèle à son image humaniste, le patron de l'horlogerie chez Hublot et référencé lors d'une bonne, c'est une bonne chose que de pouvoir exploiter dans une entreprise comme Apple. Une bonne entendeur ...
Pourtant, Apple n'en était pas à son coup d'essai. En juillet 2013, elle débauchait déjà Paul Deneve , PDG d'Yves Saint-Laurent . Puis Angela Ahrendts , ex-PDG de Burberry . Avant que nous soyons, nous apprend le Huffington Post, « Jay Blahnik a quitté le groupe affilié du pétrole de Nike , une application mesure l'activité physique pas d' Apple compte bien s'inspirer». Et, entre temps, Apple a essayé d'acheter à Hublot de fils ou inrayable, le Magic Gold . Sans succès, Jean-Claude Biver avait refusé, estimant que le métier d'Hublot était l' horlogerie , et non le négoce de métaux .

Le maestro de la maison de la mère au sourire et s'est fait plus grave, dans les colonnes du Matin: pas encore prendre la mesure ». L'étude de la crise du quartz dans les années 70 est à l'épreuve de la voix: l'industrie horlogère suisse a développé ce procédé en 69 belle horlogerie suisse . Il connaît la suite: cette dernière a été littéralement balayée pendant un quart de siècle.
Seoul le Swatch Group semble prendre ses précautions, en tout cas sur le terrain juridique. Hayek, estimant que la potentielle «iWatch» et sa propre «iSwatch» presentente de forteresse similitudes de marques, averti que le groupe suisse attaquera «dans tous les pays de la marque est présente. Les activées l'entreprise jugent ses besoins afin de protéger sa propre marque iSwatch ». Le connait la suite puisqu'elle s'appelle " Apple Watch " ... voir plus rolex repliques et Replique Rolex Explorer